Publié le 08.10.2018, 21h12 par La Rédaction | 58 vues | 0 Commentaires
Alors que 130 cas suspects liés au virus du Nil occidental ont été dénombrés ces dernières semaines en Tunisie, les autorités algériennes ont décidé en retour de prendre les devants en décrétant l'état d'urgence maximal à la frontière tunisienne.
Cette maladie découle en effet pour l'homme de la piqûre d'un moustique infecté; l'insecte s'étant préalablement nourri du sang d’un oiseau porteur du virus. Plus rassurant, les humains ne peuvent pas se le transmettre entre eux ni par l'intermédiaire d'un animal de compagnie.
Pour autant, ce nouvel épisode sanitaire n'est pas à même bien sûr de rassurer la population tant l'anxiogène dossier du choléra aura marqué les esprits algériens récemment.
Néanmoins, le ministère de la Santé, très critiqué en raison de son laxisme dans plusieurs affaires, à l'image du choléra ou encore des dangers liés aux scorpions, a décidé de prendre le taureau par les cornes en prenant les mesures préventives qui s'imposent dans 19 wilayas situées à l'Est du territoire.
Crédit photo : Wikipédia
La Rédaction
Source : Observ' Algérie
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