Comme le relaie Jeune Afrique, Orange propose sur le territoire tunisien des programmes IOT, IA ou encore gaming dans 27 écoles d’ingénieurs et universités. Mais aussi, une dizaine de centres de formations et d’encadrement (Orange digital center clubs) et des fablabs solidaires mettant à disposition des outils de pointe (imprimante 3D, découpe laser, etc.).
Le but ? Permettre à ce jeune vivier de talents de réaliser ses projets. Le média précise que « près de 25 000 étudiants, jeunes entrepreneurs et gameurs profitent gratuitement de ces services. De quoi offrir des débouchés en Tunisie à ces cerveaux, généralement attirés par l’expatriation ».
Dans les faits, Orange fut le deuxième opérateur privé de télécommunications à obtenir une licence de téléphonie mobile en Tunisie, adjugée en juillet 2009 pour un montant de 257,3 millions de dinars. Il fut également le premier à exploiter un réseau 3G et de téléphonie fixe, brisant, sur ce dernier plan, le monopole de Tunisie Télécom.
Au printemps 2010, le lancement de Orange Tunisie se déroula autour d’un gigantesque buzz médiatique et suscita l’engouement du public. Même si le marché de la téléphonie paraissait alors particulièrement saturé avec près de 90 % des Tunisiens déjà détenteurs d’un forfait de téléphonie mobile.